L’équipe

Titulaire de la Chaire

Marc.Sciamanna@centralesupelec.fr

Tel +33 3 87 76 47 05

Marc SCIAMANNA a reçu son diplôme d’ingénieur civil électricien (2000) et de Docteur en Sciences Appliquées (2004) de la Faculté Polytechnique de Mons (aujourd’hui Université de Mons, Belgique), en qualité également de chercheur auprès du Fonds National pour la Recherche Scientifique (FNRS, Belgique). Le sujet de sa thèse de doctorat est « Nonlinear dynamics and polarization properties of externally driven semiconductor lasers ». Depuis le 19 avril 2004, Marc SCIAMANNA est Professeur à Supélec (depuis 2015 CentraleSupélec) où il poursuit ses activités de recherche en dynamique non-linéaire de lasers à semi-conducteurs et en optique non-linéaire, dans le cadre du laboratoire LMOPS (Laboratoire Matériaux Optiques, Photonique et Système), EA-4423. En 2009 Marc SCIAMANNA a obtenu son Habilitation à Diriger les Recherches (H.D.R.) à l’Université Paul Verlaine de Metz, aujourd’hui Université de Lorraine. Depuis 2009 il est également Adjunct Professor à Georgia Institute of Technology (U.S.A.). Il est depuis 2005 responsable de la spécialisation en Systèmes Photoniques et de Communication (SPC), formation de niveau Master cohabilitée pour la délivrance du Master en Physique, Spécialité ‘Photonique et Optique pour les Matériaux’ (POM) avec l’Université de Lorraine. Il a été de 2008 à 2017 responsable de l’équipe OPTEL (Optique et Electronique) de Supélec et de 2012 à 2016 directeur adjoint du laboratoire LMOPS.

Marc SCIAMANNA est auteur de 93 publications dans des revues internationales à comité de lecture, et de 100 publications en conférence incluant 25 exposés invités. Ses articles ont donné lieu à plus de 3000 citations, résultant en un H-index = 28. Marc SCIAMANNA a été distingué par les sociétés internationales en photonique : IEEE-LEOS (actuellement IEEE Photonics Society) avec le 2002 Graduate Student Fellowship Award, et SPIE (International Society for Optical Engineering) avec le 2003 F-MADE Scholarship Award. En 2007 il reçoit le prestigieux prix « TR35 – Young Innovator Award » du MIT (Technology Review, USA) qui récompense chaque année 35 chercheurs de moins de 35 ans pour leurs travaux dans l’ensemble des domaines scientifiques. En 2009 il obtient le Prix du Chercheur du Conseil Régional de Lorraine. Marc SCIAMANNA est également président et membre du comité de programme de nombreuses conférences internationales telles que SPIE Photonics Europe (depuis 2008), EOS Annual Meeting (2012), IEEE/LEOS Winter Topicals (2009), PHASE/IPSSO international workshops (2005, 2007), A Future in Light (2009) et IS-PALD (2013, 2015, 2017). Il est également l’un des trois éditeurs exécutifs de la revue internationale Optical and Quantum Electronics éditée par Springer et depuis 2016 Topical Editor de la revue internationale Optics Letters (Optical Society of America).  En 2015 il a représenté CentraleSupélec au sein du comité national pour 2015, Année Internationale de la Lumière. En 2017 il a été nommé membre du Conseil Scientifique de l’OPECST (Officie Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques).

Assistante de gestion

Maryvonne.Fall@centralesupelec.fr

Tel +33 3 87 76 47 48

Maryvonne Fall a plus de 20 ans d’expérience dans la gestion administrative, comptable et commerciale. Elle a débuté sa carrière en tant que secrétaire dans un organisme de formation (APAVE) et dans une mutuelle (Harmonie) au sein du service Formation, puis a été responsable de la gestion administrative et comptable d’un magasin Lapeyre (groupe St Gobain) pendant 12 ans. En janvier 2016, elle a rejoint CentraleSupélec en tant que Secrétaire rattachée à la Direction de la Recherche (gestion des déplacements du campus, réservations, notes de frais…). Depuis février 2017 elle est assistante de gestion de la Chaire Photonique.

Technicien

 

Mario Fernandes-Lanfranchi est au service de l’école depuis 1986.

Il a obtenu en 2020 à l’IUT de Metz, une LICENCE PROFESSIONNELLE de Sciences, Technologies, Santé mention Conception et amélioration de processus et procédés industriels. Parcours type Procédés, techniques, stratégie d’usinage avancé

Il a notamment participé à l’installation du premier laboratoire d’optique de l’école en 1989. Il a ainsi pu participer à la quasi-totalité des thèses et projets ou contrats industriels du laboratoire. Il y a développé une forte expérience dans les montages optiques de mécanique fine et dans la gestion de projets. Cette expérience de 30 ans lui a permis de développer des compétences d’analyses et d’expertises transverses.

Il est aussi en charge, de la conception, design, fabrication et usinage de composants opto-mécanique. De la conception et assemblage de systèmes opto-mécanique. Et de la maintenance du matériel opto-mécanique.Merci

Enseignants-Chercheurs

Delphine.Wolfersberger@centralesupelec.fr

Tel +33 3 87 76 47 04

Delphine Wolfersberger a reçu son diplôme de docteur en Physique de l’Université Paul Verlaine de Metz en 1999. Sa thèse de doctorat concernait l’ « Etude expérimentale et théorique de l’autofocalisation photoréfractive d’une impulsion laser pour application à la limitation optique» ; cette thèse a été réalisée en contrat Cifre avec Sfim Industries (SAGEM). Depuis Septembre 1999, Delphine Wolfersberger est enseignant-chercheur à Supélec (France) où elle poursuit ses activités de recherche dans le domaine de la photonique non linéaire, plus particulièrement l’autofocalisation photoréfractive et la propagation soliton pour des applications dans les télécommunications optiques, l’étude et le contrôle des patterns optiques, la dynamique non-linéaire de lasers à semi-conducteurs et la propagation de faisceaux non conventionnels (par exemple de faisceaux d’Airy) dans le cadre du laboratoire LMOPS (Laboratoire Matériaux Optiques, Photonique et Système). En 2008, Delphine Wolfersberger a obtenu son Habilitation à Diriger les Recherches (H.D.R.) en physique à l’Université Paul Verlaine de Metz, aujourd’hui Université de Lorraine, et est, depuis 2009, professeur au sein de Supélec, aujourd’hui CentraleSupélec.

Delphine Wolfersberger est auteur de 49 publications dans des revues internationales à comité de lecture, et d’environ 60 actes de conférences : elle a participé à environ 100 conférences dont 60 exposés oraux (17 invités) et 44 posters. Delphine Wolfersberger a été, jusque fin 2012, déléguée nationale française de l’action Européenne COST MP0702 et a également été porteuse d’un projet collaboratif FAST (via le ministère des affaires étrangères) avec l’Australian National University ANU de Canberra (Australie) (2008-2010). Delphine Wolfersberger est actuellement membre du réseau collaboratif Belge en Photonique (IAP Photonics@be: towards smart photonics in 2020). Elle a également été co-organisatrice de plusieurs conférences internationales à Supélec – Campus de Metz : ECAPD8 (2006) , ISPALD 2015 en tant que membre du comité organisateur ; PHASE/IPSSO international workshops (2005, 2007), A Future in Light international conference (2009) en tant que co-chair. En 2015, Delphine Wolfersberger s’est également impliquée dans l’année internationale de la lumière à CentraleSupélec en collaboration avec le Centre Pompidou de Metz.

Nicolas.Marsal@centralesupelec.fr

Tel +33 3 87 76 47 83

Nicolas Marsal a obtenu son doctorat en physique en 2010 de l’Université Paul Verlaine de Metz (aujourd’hui Université de Lorraine) sur le sujet « Contrôle de l’auto-organisation de la lumière dans un systèmes à rétroaction optique ». Il a effectué ensuite un post-doctorat en 2010-2011 au sein du laboratoire UMI CNRS 2958, CNRS-Georgia Institute of Technology, sur le sujet « Nonlinear light propagation at the nanoscale ». Depuis décembre 2011, il est Enseignant-Chercheur à CentraleSupélec, sur le Campus de Metz au sein du laboratoire LMOPS EA-4423. Il poursuit ses activités de recherche sur les mémoires optiques, notamment sur la formation et le contrôle de structures lumineuses dites auto-organisées (patterns optiques, structures localisées, solitons). Il étudie également la génération et la propagation de faisceaux dits non conventionnels : Vortex, Airy, Bessel… Il s’intéresse enfin à une variante des réseaux de neurones : le réservoir computing (photonique), qui est une méthode de calcul inspirée du fonctionnement de notre cerveau.

Nicolas Marsal est auteur de 19 publications dans des revues internationales et actes de conférence à comité de lecture, et d’environ 40 publications conférences (exposés oraux, posters) dont 8 invitées. Il a obtenu en 2011 le Prix de Thèse de l’Université de Lorraine et le Prix de la Thèse du Conseil Régional de Lorraine.

Depuis 2015, Nicolas Marsal est également le référent Culture Scientifique et Technique sur le campus de Metz, s’occupant ainsi des évènements tels que la Fête de la Science ainsi que les portes ouvertes du campus.

Damien.Rontani@centralesupelec.fr

Tel +33 3 87 76 47 16

Damien Rontani a reçu son diplôme d’ingénieur en génie électrique et son Master Recherche mention « Information, Energie et Systèmes » de l’Ecole Supérieure d’Electricité (Supélec, France) en 2004 et 2006, respectivement. En parallèle, il a reçu son Master of Science in Electrical and Computer Engineering du Georgia Institute of Technology (Georgia Tech, USA) en 2005. En 2011, il a défendu sa thèse de doctorat en Physique Appliquée à Supélec et son PhD in Electrical and Computer Engineering à Georgia Tech. De 2011 à 2013 il a effectué son post-doctorat dans le département de physique à Duke University (USA). Depuis Décembre 2013, il est enseignant-chercheur (professeur assistant) à Supélec (France) où il poursuit ses activités de recherche en dynamique non-linéaire de systèmes photoniques complexes, physique expérimentale des réseaux dynamiques et optique non-linéaire pour des applications innovantes en traitement de l’information. Ses recherches sont effectuées dans le cadre de la Chaire Photonique intégré au laboratoire LMOPS (Laboratoire Matériaux Optiques, Photonique et Système) EA-4423. Au cours de sa jeune carrière, il a publié 17 publications dans des revues internationales à comité de lecture et 39 publications (exposé oraux et poster) dans des conférences internationales.

Jean-Louis.Gutzwiller@centralesupelec.fr

Tel +33 3 87 76 47 09

Jean-Louis Gutzwiller est ingénieur Supélec, promotion 1985.

Professeur à l’école depuis septembre 1986 sur le campus de Metz, ses principaux centres d’intérêts vont de l’électronique analogique à l’électronique numérique. Il participe régulièrement à des projets sur le sujet pour la réalisation de dispositifs d’acquisition de données ou de contrôle dans des domaines très variés (automobile, recherche pétrolière, santé…). Il a également participé à des publications dans le domaine du codage des images hyperspectrales. Il est co-responsable de la Smartroom du campus de Metz (http://smartroom.metz.supelec.fr/).

Ninel Kokanyan

Ninel Kokanyan a obtenu son doctorat en physique en 2015 à l’Université de Lorraine sur le sujet « Etude par spectroscopie Raman polarisée des effets photo-électrostrictifs dans le niobate de lithium photoréfractif ». Depuis 2016, elle est Enseignante-Chercheuse à CentraleSupélec sur le campus de Metz au sein du laboratoire LMOPS. Elle poursuit ses activités de recherche dans la spectroscopie Raman avec des applications dans l’optique, dans les biotechnologies et dans les matériaux de structures. Elle s’intéresse aux différents besoins industriels dans le contrôle on-line et développe des capteurs non-invasifs basés sur l’effet Raman afin de répondre à ces besoins.
A ce jour, elle est auteur de 16 articles dans des revues internationales à comité de lecture, et a participé à 41 conférences internationales (dont 10 avec acte à comité de lecture).
Parallèlement, Ninel Kokanyan est depuis 2017 la Déléguée à la Pédagogie sur le campus de Metz de CentraleSupélec, en charge de la construction du cursus ingénieur du campus et de son déploiement. En complément de cette activité, elle est depuis 2019 la responsable de la filière Innovation & Intrapreneuriat au sein de CentraleSupélec et depuis 2020, la responsable de l’année spécifique dédiée aux élèves issus des classes préparatoires BCPST (Biologie, Chimie, Physique et Science de la Terre) et des licences Mathématiques-Biologie et Pharmacie. Ninel Kokanyan est également membre de Comité de Direction du campus de Metz de CentraleSupélec.

Piotr Antonik a obtenu son diplôme de Master (2013) et de Docteur en Sciences Physiques (2017) de l’Université libre de Bruxelles (Belgique), ce dernier en tant que Aspirant du Fonds National de la Recherche Scientifique (F.R.S.-FNRS, Belgique). Sa recherche visait à implémenter des méthodes d’intelligence artificielle sur des systèmes photoniques. Sa thèse, intitulée « Application of FPGA to real-time machine learning: hardware reservoir computers and software image processing » a remporté le prix Springer Theses Award et a été publié dans la collection Springer Theses.


Dans le courant de son doctorat, il a effectué un stage de cinq mois au sein de Biomedical Engineering Department (BME) de l’Université de Texas à Austin (États-Unis). Son projet portait sur le développement des algorithmes de traitement d’images biomédicales pour diagnostiquer des maladies cardiovasculaires.

En 2017, il a rejoint le laboratoire LMOPS EA-4423 (Laboratoire Matériaux Optiques, Photonique et Système) et la Chaire Photonique pour un post-doctorat d’un an. Il a développé des architectures spatiales des processeurs photoniques bio-inspirés de large dimension pour la reconnaissance et classification d’images.

Depuis octobre 2018, il est Enseignant-Chercheur à CentraleSupélec, sur le Campus de Metz, au sein du laboratoire LMOPS EA-4423 et de la Chaire Photonique. Il poursuit ses activités de recherche dans les domaines de l’intelligence artificielle et la photonique, avec des applications en imagerie biomédicale et les télécommunications. À ce jour, il est auteur de 6 articles dans des revues internationales à comité de lecture et de 16 publications (exposés oraux et posters) dans des conférences internationales.

Post-Doctorants

Stefan Bittner est né à Frankfurt am Main (Allemagne) en 1980. Il a obtenu son diplôme en physique à la Technical University Darmstadt en 2007. Il a effectué son doctorat dans le Quantum Chaos Group à Darmstadt sur les propriétés des résonateurs diélectriques micro-ondes et il a reçu son diplôme de docteur en 2010. Il a continué ses études de résonateurs diélectriques à la Technical University Darmstadt comme post-doctorant jusqu’à 2012. De 2012 à 2014, il a effectué un séjour post-doctoral à l’ENS Cachan comme boursier Marie-Curie dans le cadre du projet RBUCE-UP. Il y a investigué les micro-lasers organiques au sein du Laboratoire de Photonique Quantique et Moléculaire (LPQM). De 2015 à 2018 il était chercheur au sein du groupe de Hui Cao à la Yale University où il a étudié la dynamique spatio-temporelle de lasers semi-conducteurs en géométrie asymétrique. Depuis 2019 il est chercheur à la Chaire Photonique au CentraleSupélec. Ses sujets de recherche sont les suivants : chaos déterministe et dynamique non-linéaire, chaos ondulatoire, physique semi-classique, micro-lasers organiques et semi-conducteurs, dynamique spatio-temporelle des lasers.

Depuis Mai 2019, Tushar MALICA fait partie de la Chaire Photonique et LMOPS (Laboratoire  Matériaux Optiques, Photonique et Systèmes) à Centralesupélec pour poursuivre ses activités de recherche dans le domaine de la dynamique non linéaire des lasers à semi-conducteurs. Ses intérêts de recherche incluent la rétroaction optique spatio-temporellement complexe et les systèmes VECSEL en mode verrouillé. Elle a auparavant terminé son programme de doctorat dans le cadre du prix « international Macquarie Research Excellence Scholarship (iMQRES) » entre 2015 et 2018 à l’Université Macquarie en Australie. Sa thèse de doctorat s′intitulait « Dynamique non linéaire des lasers à semi-conducteurs à longue cavité: une étude des régimes dynamiques et des événements temporels ». En 2015, elle a obtenu son Master spécialisé en sciences et ingénierie photoniques dans le cadre d’un programme entre l’Université Vrije Bruxelles et l’Université de Ghent en Belgique en ayant une bourse de l’Université Vrije Bruxelles. En 2012, elle a obtenu sa licence (Bachelor) en ingénierie, spécialité électronique et communication à l’Université Bundelkhand en Inde.

Nacera Bouldja a reçu un diplôme d’Ingénieur en Electrique Option Télécommunication (Algérie) en 2009 et un Magistère en Systèmes Optoélectronique (Algérie) en 2015. Ses recherches portaient sur la conception de sources lasers accordables à base de cristaux non linéaires. En 2017, elle a obtenu son diplôme de Master en Sciences, Technologies, mention Physique, Photonique et Optique pour les Matériaux à l’Université de Lorraine (France). Depuis Décembre 2017, elle est doctorante à CentraleSupélec (France) le cadre de la Chaire Photonique et sous la direction de Delphine Wolfersberger et Marc Sciamanna. Ses activités sont focalisées sur l’étude expérimentale du ralentissement de la lumière dans un semi-conducteur photorefractif en utilisant la technique du mélange d’onde.

En déc 2020 elle a obtenu sa thèse de doctorat CS dans le cadre  de la chaire photonique et sous la direction de Delphine Wolfersberger et Marc Sciamanna

Yaya Doumbia, a commencé des études en Sciences Fondamentales et Appliquées à l’Université Nangui Abrogoua (UNA) (Abidjan-Côte d’Ivoire) et a obtenu une Licence en Sciences Physiques en 2015. De 2015 à 2017, il a étudié la Physique Fondamentale et Appliquée à UNA, puis il a obtenu un Master en Physique Option Photonique et Optique pour les Matériaux à l’Université de Lorraine (France) en 2018. Après plusieurs mois de recherches sur le ralentissement de la lumière dans les cristaux photoniques non linéaire, Yaya a commencé une thèse de doctorat en Octobre 2018 à CentraleSupélec dans le cadre de la chaire Photonique Sous la direction de Marc SCIAMANNA et la co-direction de Delphine WOLFERSBERGER. Ses intérêts de recherche incluent la physique et la dynamique non linéaire des lasers à semi-conducteurs, les propriétés de polarisation des VCSELs, le contrôle optique des peignes de fréquence lié à l’injection optique polarisée ou arbitraire.

Doctorants

 

Guillaume Bouchez est né à Bourges (France) en 1996. Il a reçu en 2017 de l’école CentraleSupélec son diplôme d’ingénieur, ainsi qu’un Master en physique appliquée. Il a commencé une thèse de doctorat sur la dynamique non-linéaire des lasers soumis à des rétroactions optiques à conjugaison de phase, sous la direction de Marc Sciamanna et de Delphine Wolfersberger. Il s’intéresse notamment au chaos optique haute fréquence et à l’influence de la boucle de rétroaction.

Yue CHAI a obtenu un master d’ingénierie à Ecole Centrale de Pékin, Beihang Université et un double diplôme d’ingénieur de Ecole Centrale de Lille en 2020. Elle a commencé une thèse de doctorat en Octobre 2020 à CentraleSupélec dans le cadre de la chaire photonique et sous la direction de Delphine Wolfersberger et la co-direction de Nicolas Marsal. Ses activités de recherche sont focalisées sur l’interaction non linéaire des faisceaux non conventionnels.

 

 

Ning YANG a obtenu son diplôme de Master génie alimentaire de l’université polytechnique de Wuhan (Chine) en 2013. Après plusieurs années de recherches sur l’analyse chimique et instrumentale. Il a commencé une thèse de doctorat en Octobre 2020 à CentraleSupélec, sous la direction de Patrick Perré, et la co-direction de Ninel Kokanyan et Cédric Guerin. 
En tant que membre de la Chaire Photonique et Chaire de Biotechnologie, son domaine de recherche actuel porte sur la surveillance de bio-réaction avec la technologie de détection optique.

 

Lucas OLIVERIO, Après 3 années de licence de Physique Fondamentale, Lucas Oliverio a été diplômé avec Mention Très Bien du Master de Physique Appliquée et Ingénierie Physique dans le parcours de Photonique et Optique pour les Matériaux ; diplôme porté par CentraleSupélec et l’Université de Lorraine. Il s’est engagé dans une thèse de doctorat à l’école CentraleSupélec au sein du laboratoire LMOPS. Le sujet traite des réseaux de neurones basés sur l’utilisation d’un laser multimode comme système de traitement tout-optique de l’information. Actuellement encadré par Marc Sciamanna et Damien Rontani, il vise une carrière académique en tant qu’enseignant dans le supérieur.

Alumni

 

Lionel Weicker a obtenu son diplôme de Master en sciences Physiques à l’Université Libre de Bruxelles en 2010. En 2014, il est diplômé Docteur en Sciences à la fois à l’Université Libre de Bruxelles et à la Vrije Universiteit Brussel. Ses travaux portaient sur l’étude analytique, numérique et expérimentale, des dynamiques générées par des oscillateurs optoélectroniques et des systèmes de type FitzHugh-Nagumo. Lors de son doctorat, il a été amené à travailler à l’étranger à l’Université de Franche-Comté et à Duke University.

Depuis, il travaille comme chercheur en post-doctorat à CentraleSupélec, Metz. Il y étudie les dynamiques induites par des lasers à semiconducteur soumis à une rétroaction conjuguée en phase. De plus, il analyse les instabilités dynamiques dans un cristal photoréfractif soumis à une simple rétroaction.

A ce jour, il a publié 15 papiers dans des revues à comité de lecture avec des collègues venant du monde entier. Il a contribué à plus de 30 conférences. Ses sujets de recherches sont les suivants: dynamiques nonlinéaire, équations différentielles à retard, dynamique des lasers, oscillateurs optoélectroniques et structures localisées.

Chi-Hak Uy a été diplômé en 2015 en tant qu’ingénieur spécialisé en photonique à l’école CentraleSupélec ainsi qu’à l’Université de Lorraine. Après plusieurs mois de recherche sur les technologies LIDAR, les hydrophones optiques faible bruit et la conversion de longueur d’onde sur PPLN, Chi-Hak a commencé une thèse de doctorat en novembre 2015 à CentraleSupélec sur les dynamiques multimodes et non-linéaires dans les VCSELs, dans le cadre de la Chaire Photonique et sous la direction de Marc Sciamanna et la co-direction de Damien Rontani.

Alban Maertens est né à Croix (France) en 1988. Il commença des études en physique à l’université de Lille 1 (DUT Mesures Physiques – Licence Physique-Chimie) et obtient un master de physique et d’ingénierie (mention énergie solaire) en 2012 à l’université de Perpignan et un second master en photonique à l’université de Loraine en 2013. Il reçut son diplôme de docteur en physique –photonique en 2016, qu’il effectua au sein de CentraleSupélec au laboratoire LMOPS. Les activités de recherche menaient durant son doctorat étaient focalisées sur l’étude et la réalisation d’une structure FET dans le but d’observer le comportement de l’exciton du ZnO sous champ électrique. L’objectif principal de cette étude était de développer et d’utiliser une électrode de grille conductrice et transparente dans l’UV. L’oxyde de gallium (Ga2O3) a été choisi pour réaliser cette électrode, dont les propriétés ont été modifiées à la suite de différents traitements plasma. Ces méthodes plasma lui ont permis de figurer parmi les finalises des trophées mc6 en 2015 (concours d’entreprenariat et d’innovation pour étudiant). Il effectue actuellement un postdoc à CentraleSupélec au laboratoire LMOPS, dans le cadre de la Chaire Photonique où il étudie les propriétés non-linéaires de guides d’ondes en BTO et VO2 sur silicium.

Florian Denis est né en France en 1992. Il a reçu le diplôme d’ingénieur de CentraleSupélec (France), ainsi qu’un diplôme de Master en physique appliquée de l’Université de Lorraine (France) en 2016, avec une spécialisation en photonique. Il poursuit actuellement un doctorat à CentraleSupélec (France), sous la direction de Marc Sciamanna et la co-direction de Damien Rontani. Ses activités de recherche comprennent la dynamique non linéaire de systèmes photoniques, ainsi que le reservoir computing. Il a publié trois articles dans des journaux scientifiques sur l’étude de dynamiques non linéaire de VCSELs (vertical-cavity surface-emitting lasers).

Thomas Bouchet a obtenu en 2016 un double diplôme d’ingénieur de CentraleSupelec et Georgia Institute of Technology (USA). Il est un membre actif de la communauté des alumnis. Il a commencé une thèse en octobre 2016 à CentraleSupélec sur l’interaction non-linéaire de faisceaux Airy dans le cadre de la Chaire Photonique, sous la direction de Delphine Wolfersberger et la co-direction de Nicolas Marsal.

 

 

Après avoir effectué les classes préparatoires scientifiques, Lamyae Drouzi a obtenu son diplôme de Licence en sciences physiques (option électronique) et un Master en « Optique et Matériaux » à l’Université Mohamed Premier d’Oujda. Lors de son master, elle a été amenée à faire son stage de Master 2 au Laboratoire UMR CNRS 8523, PhLAM au sein de l’Université de Lille. En  Janvier 2018, elle a été diplômée Docteur en physique, à la fois à l’Université de Lille et l’Université Mohamed Premier. Ses travaux portaient sur l’étude analytique et numérique de la dynamique non linéaire des fibres optiques biréfringentes, en particulier l’étude des solitons et ondes scélérates optiques dans ce type de systèmes. Au cours de son doctorat, elle a encadré des travaux pratiques en électronique numérique au sein de l’IUT A de Lille.

Depuis Février 2018, elle travaille comme chercheuse en post-doctorat à CentraleSupélec de Metz, dans le cadre de la Chaire Photonique, au sein du laboratoire LMOPS – EA 4423.  Elle y étudie, numériquement et expérimentalement, la formation et le contrôle des structures lumineuses auto-organisées étendues (patterns optiques) via des faisceaux non conventionnels.

Jeremy Vatin a été diplômé en tant qu’ingénieur CentraleSupelec en 2017. Il a également reçu la même année un diplôme de master en physique appliquée de l’Université Lorraine. Grandement intéressé par les technologies d’avenir, il entreprend en 2017 une thèse au laboratoire MOPS sur l’utilisation de VCSELs pour réaliser une plateforme neuro-inspirée pour le traitement tout optique  de l’information. Ancré dans la chaire photonique, il est co-encadré par Marc Sciamanna et Damien Rontani.

Il a obtenu en octobre 2020 sa thèse de doctorat CS dans le cadre de la chaire photonique et co-encadré par Marc Sciamanna et Damien Rontani

LES FONDATEURS DE LA CHAIRE